Le transfert sur la nouvelle plateforme s'est bien passé et a duré environ cinq minutes. Il semble que tous les articles soient là, mais je n'ai que 10 rubriques d'affichées sur 39. je ne sais absolument pas si c'est possible de les récupérer et où ! (De même, je n'ai que peu de liens affichés)
Pour ce qui est de créer des articles et de mettre des images, c'est comme sur mon blog-test , une galère ! Je ne peux pas positionner les images où je veux, ni choisir leur taille, je n'arrive pas à choisir la grosseur de mon texte, tout reste très tassé...Quant à la musique, si j'ai vite réussi à la mettre, elle ne se met pas en marche quand le blog s'ouvre, et de plus, s'arrête au bout de 30 secondes !
Bref, cela fait plus de 6 mois que j'essaie sur mon blog-test, et rien n'a changé ! Quant aux réponses sur le forum d'aide, elles sont pour moi aussi claires que du chinois !! et je vois qu'on est nombreux à penser ainsi
Je vais encore essayer, mais si je n'y arrive pas mieux, je partirai sur blogspot où j'avais aussi créé un blog-test, et où tout est simple et limpide. La seule raison qui m'arrêtait encore est que je devrai recommencer à zéro, et ne plus avoir sur mon blog les articles déjà publiés, sinon, je serais déjà partie depuis longtemps.
Bon je vous montre quand même mon minable article d'aujourd'hui, pour vous donner une idée, vu le temps que j'y ai passé ! Je n'ai même pas pu mettre un gif à la fin, car ou je ne peux pas mettre 2 images, ou la 2eme est énorme et je ne peux pas la redimensionner.
Et j'ai beau passer des lignes sur mon administration, regardez ce que ça donne sur le blog ! (dans mon laïus et dans ma poésie) Tout est collé ! Je ne suis pas une pro de l'informatique, mais quand même, j'avais réussi à créer 2 blogs sur l'ancien OB alors que je n'y connaissais absolument rien à l'époque, alors comment peuvent-ils dire que c'est beaucoup plus simple qu'avant ??!!
Le jour où je vous vis pour la première fois
Le jour où je vous vis pour la première fois,
Vous aviez un air triste et gai : dans votre voix
Pleuraient des rossignols captifs, sifflaient des merles;
Votre bouche rieuse, où fleurissaient des perles,
Gardait à ses deux coins d'imperceptibles plis;
Vos grands yeux bleus semblaient des calices remplis
Par l'orage, et séchant les larmes de la pluie
A la brise d'avril qui chante et les essuie;
Et des ombres passaient sur votre front vermeil
Comme un papillon noir dans un rai de soleil.
Jean Richepin (poète français 1849-1926)